Le stagiaire d’été (ou pas)

Après le job d’été, place au stagiaire d’été ! Je m’explique : pour le commun des mortels et donc des journalistes, l’été est synonyme de soleil, palmier, plage, hamac, farniente, cocktail et j’en passe. Qui dit été, dit forcément vacances, ce qui fait que les rédactions se retrouvent très souvent en sous effectif. Face à ce problème, le DRH à deux possibilités : soit il embauche un CDD (solution coûteuse), soit il prend un stagiaire (solution largement moins coûteuse). Et voilà comment chaque année en cette période, les journaux font À BLOC d’économie en ayant le même nombre de petites mains.

Étant stagiaire à plein temps toute l’année, j’ai décidé de faire ma rebelle cet été. J’ai donc laissé tomber la machine à écrire (ok, c’est pour faire genre, j’ai un ordi comme tout le monde) pour prendre un job d’été.

Verdict après deux semaines : je sais pourquoi, je persiste tant à galérer dans ma quête du job de rêve. Ok, être stagiaire c’est usant mais au moins quand je suis en stage, je m’éclate. Plier et ranger des fringues, tout en racontant des salades (ce short, vous fait des fesses à croquer), ce n’est vraiment pas pour moi, même si c’est rigolo de jouer à la vendeuse pour quelques semaines. Après faut choisir : la passion ou le chèque…Une chose est sûre, je retourne à mon clavier dès septembre.

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Une réponse à “Le stagiaire d’été (ou pas)

  1. La passion est payante mais il faut être patiente. Vendre des fringues ou faire n’importe quelle activité alimentaire, c’est parfois obligatoire mais il faut faire attention à ne pas se laisser enfermer dedans. sinon au final ça fait des trous moisis dans le CV

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